Alexandre Castant

Biographie

« J’aurai eu, dans les années 1990, une jeunesse de critique d’art, puis, avec les années 2000-2010, une maturité d’essayiste entre esthétique & histoire des arts… À partir des années 2020, un projet poétique & fictionnel complète ce parcours entre les arts et les pratiques d’une écriture esthétique. » A. C.

Alexandre Castant, né en 1965 à Montpellier, est professeur des Écoles nationales supérieures d’art, essayiste & critique d’art, écrivain.
Diplômé en esthétique et philosophie de l’art de l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne (Doctorat, 2000), après avoir étudié la littérature générale et comparée à l’université Paul Valéry Montpellier-III (Maîtrise & D.E.A., 1990 & 1991), et, préalablement, obtenu un baccalauréat scientifique (D), il est, depuis 2003, professeur d’esthétique et histoire de l’art contemporain à l’École nationale supérieure d’art de Bourges où il dirige le séminaire, sur la création sonore et les arts visuels, L’Atelier sonore d’esthétique.
Parallèlement, il a été chargé de cours à l’École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg (1996-2007), à l’École supérieure d’arts et médias de Caen (2000-2003), à l’École supérieure d’art du Port, île de La Réunion (2003-2012) ainsi que, en 2014 et 2018 en Chine, à l’École offshore/XiYiTang de Shanghai et la Shandong University of Arts de Jinan.

Essayiste, ses ouvrages étudient les relations poétiques et esthétiques entretenues par les arts, réinventées par leurs translations sémiologiques, constitutives d’un nouvel horizon utopique. 
Dans cette perspective, il a exploré les correspondances, les tensions et les utopies de l’écriture et des arts plastiques dans un ouvrage sur l’écrivain, poète et critique d’art André Pieyre de Mandiargues (Esthétique de l’image, fictions d’André Pieyre de Mandiargues, 2001). Il a ensuite publié en 2003 une étude monographique sur une photographie de Man Ray, Noire et blanche, 1926, puis un ouvrage cette fois général sur la photographie ( La Photographie dans l’œil des passages, 2004) où il développe, à travers les relations de la photographie avec la littérature et le cinéma, une approche trans-médiums, ouverte et nomade, de la notion d’image. Cette conception sera ultérieurement explorée, du point de vue de l’imaginaire, dans l’ouvrage collectif ImagoDrome, des images mentales dans l’art contemporain, 2010.

Enjeu de ce type de recherche, une méthode de travail sur les relations trans-esthétiques — méthode faite de données historiques, d’analyse sémiologique et d’exploration de l’écriture la relayant — a été particulièrement exploitée lors d’une étude sur la création sonore dans les arts visuels. L’ouvrage qui en résulte (Planètes sonores, radiophonie, arts, cinéma, 2007 ; nouvelle édition revue et augmentée, 2010) a immédiatement rencontré son public et l’intérêt critique tandis que le son dans le champ de l’art devenait une préoccupation aiguë de la création contemporaine. En 2016, il fait paraître Journal audiobiographique, radiophonie, arts, cinéma, un nouvel ouvrage sur le son dans l’art contemporain qui, presque dix ans après, poursuit l’étude ouverte par Planètes sonores… Avec un ensemble d’œuvres contemporaines et actuelles, mais aussi historiques, Journal audiobiographique propose un état des lieux de ces pratiques et de leur exploration de l’écoute et du son, du silence et du bruit, de la voix et des objets sonores qui constituent le domaine dynamique des arts sonores. En 2017, paraît le troisième volet de cette recherche Les Arts sonores – Son & Art contemporain qui, entre synthèse et panorama, revêt aussi les allures d’un livre-manifeste sur le champ, esthétique, du son dans l’art. En 2023, il coordonne la publication Les Cahiers du son, Document sur Les Journées du son de l’École nationale supérieure d’art de Bourges (27-29 avril 2022), aux Éditions Naima, qui non seulement prolonge sa recherche sur Les Arts sonores, mais aussi l’inscrit dans la singulière histoire musicale, radiophonique, plasticienne, visuelle et sonore de l’École nationale supérieure d’art de Bourges, inaugurée en 1882. 2024 connaît la parution, aux Éditions de La Lettre Volée à Bruxelles, de Correspondances dans le labyrinthe des sons. Écrit en collaboration avec Philippe Franck, historien d’art, commissaire artistique, créateur sonore et essayiste, cet ouvrage, largement illustré, réunit un ensemble de textes qui, pendant près de vingt ans, ont constitué leurs échanges intellectuels, esthétiques, artistiques, poétiques et musicaux, dans le champ des arts sonores.

En 2012, il publie Logique de la mappemonde, note sur l’espace (pourquoi méditerranéen ?) , un ouvrage sur le paysage méditerranéen appréhendé comme le miroir d’une histoire des passages et du nomadisme des signes. Accompagné d’images de Florence Chevallier, Jean-Luc Godard, Bernard Guillot, François Méchain, Corinne Mercadier, Jean-Daniel Pollet, Bernard Plossu, ce bref essai sur la notion d’espace prolonge, autrement, ses interrogations sur les relations intersémiotiques et trans-esthétiques. En 2013, cet ouvrage et ses conceptions sont développés dans une exposition qui présente, à la galerie La Box – École nationale supérieure d’art de Bourges, des œuvres et des propositions de Yto Barrada, Taysir Batniji, Florence Chevallier, Marcel Dinahet, Maud Houssais, Mehdi Meddaci, Osman Dinç, Yazid Oulab et Ariane Tillenon. En 2019, à propos cette fois de l’exposition Written by Water de Marco Godinho à la Biennale de Venise, il actualise le projet esthétique de Logique de la mappemonde, note sur l’espace (pourquoi méditerranéen ?) dans la revue Arts et Lettres, Institut Grand-Ducal, Luxembourg, n° 6, 2020.

Ayant publié des communications — sur ces mêmes liaisons : images, textes, sons — dans le cadre d’ouvrages collectifs souvent universitaires, il a également participé, sur ce sujet donc, à des revues l’étudiant du point de vue esthétique (Retour d’y voir, MAMCO, 2010 ; Ligeia. Dossiers sur l’art, 2004; Figures de l’art. Revue d’études esthétiques, 2001), cinématographique (CiNéMAS, Université de Montréal, 2006 ; CinémAction, 2003), ou encore littéraire et poétique (MÉLUSINE-Cahiers de l’Association Pour l’Étude du Surréalisme, 2017 puis Mélusine numérique – Revue de l’Association pour l’Étude et la Recherche sur le Surréalisme, 2024 ; Roman 20-50, 2009 ; Les Cahiers RITM-Recherches Interdisciplinaires sur les Textes Modernes , 2001 ; Lendemains, Université Technique de Berlin, 1998 & 1995).

En 2021 au Centre international de Cerisy-la-Salle, il codirige, avec Pierre Taminiaux et Iwona Tokarska-Castant, le colloque sur André Pieyre de Mandiargues et les relations trans-esthétiques littérature & arts, Mandiargues : Écrire entre les arts. Préalablement, en 2020, il publie avec Iwona Tokarska-Castant Visions de Mandiargues – Modernité, avant-garde, expériences, un essai sur André Pieyre de Mandiargues et la création artistique contemporaine. En 2024, paraît Mandiargues et le cinéma (Quidam, « Le cinéma des poètes »), un ouvrage qui résulte, tout à la fois, du colloque de Cerisy-la-Salle sur André Breton en 2016 (L’Or du temps, 50 ans après), et de celui de 2021 (Écrire entre les arts), pour interroger d’un point de vue esthétique, narratif et critique, la relation de l’écriture de Mandiargues à l’image cinématographique.

En 2022 puis 2024, il est l’auteur de la préface et des textes de présentation des biennales Big Science puis Urban Nature du festival Ars Musica à Bruxelles – l’un des dix plus importants festivals, sur la scène internationale, de la musique d’aujourd’hui – et rédacteur des entretiens avec les compositeurs, compositrices, musiciens & musiciennes qui en constituent les programmes, édités sur le site internet de la Biennale : https://www.arsmusica.be/

Journaliste, critique d’art sociétaire de l’Association Internationale des Critiques d’Art, il publie un premier texte en 1990 dans le magazine Eighty, et, depuis, a participé à de nombreux périodiques & catalogues d’art contemporain pour y analyser, en particulier, la photographie – du documentaire et du photojournalisme à l’art contemporain -, les arts sonores ou les relations trans-esthétiques (photographie, vidéo, cinéma, son…).

Outre des collaborations à Contrejour Photographies (rédacteur en chef-adjoint, 1994-1996),  Sensible (rédacteur en chef, 1996-1998), Le Journal du Centre national de la photographie (comité de rédaction, 1996-2000), Archistorm (chronique sur l’art contemporain, 2004-2005), Particules, réflexions sur l’art actuel (comité de rédaction, 2008-2010) ou Dust-distiller.com (comité de rédaction & chronique sur l’art contemporain, 2012-2019), il a collaboré, en 2000, au magazine radiophonique d’art contemporain Trans/Formes (France Culture), et, au fil du temps, a publié des articles dans Art press, Art press 2L’Art même (Bruxelles), Arts et Lettres (Luxembourg), Artshebdomedias.com, La Belle revueThe Bells Angels, Camera internationalCamera obscura (Thessalonique), Camer@obscura (Varsovie), Connaissance des arts, Critique d’art, Culture et Recherche, Le Figaro Grandes Écoles & Universités, Fotografia (Varsovie), Fotografias (Madrid), Inter, art actuel (Québec), Une Larme du Diable, MCD Musiques & cultures digitales, Le Monde de la MusiqueOmnibus, Optical Sound, Le Quotidien de l’Art, Synesthésie et Volume.

Dans ces espaces éditoriaux, au regard d’articles, de chroniques ou de préfaces, il a réalisé depuis les années 1990 des entretiens avec Alain Bublex, Christian Caujolle, Anne-Laure Chamboissier, Jacqueline Chambon, Pierre Coulibeuf, Régis Debray, Raymond Depardon, Michèle Fabien et Marc Liebens, Michel Fano, Armand Gatti, Bruno Letort, Jean-Pierre Limosin, Bernard Noël, Jérôme Poret, Roger Pic, Philippe Quéau, Denis Roche, Michel Séméniako, Marc Trivier ou Wim Wenders.

Mise en perspective de ces publications Écrans de neige, photographies, textes, images (1992-2014) est un recueil d’articles, d’entretiens et de chroniques parus en revues et en journaux, construit comme une petite histoire politique, éthique, esthétique, aléatoire et fragmentaire de la photographie, et introduit par une réflexion sur le journalisme et la critique d’art, qui paraît en 2014. Conçu en trois parties, Écrans de neige met en avant les trois approches, journalistiques, critiques et esthétiques de la photographie faites par l’auteur avec le temps. Si les deux dernières sont aisément reliables à ses autres livres (« Les passagers » : littérature, cinéma ; et « L’invisible », sur l’immatérialité), la première partie souligne, quant à elle, une part importante de sa relation à la photographie qui a, notamment, traversé la décennie 1990: l’image politique à propos de laquelle un ensemble critique est constitué (« L’image, le monde »).

Nominé, le 6 octobre 2022, pour le Prix de la Critique d’Art de l’Association Internationale des Critiques d’Art, dont la remise a lieu à l’Auditorium de l’Institut National d’Histoire de l’Art, il y concourt, avec dix autres critiques d’art, en lisant le texte : « Polyphonique(s), une lecture sonore des créations de Violaine Lochu » (in 100 critiques, 10 ans d’art contemporain, le Prix AICA France, In Fine Éditions d’Art, Paris, 2023). En 2023, il est l’un des dix lauréats de la Bourse Ekphrasis, décerné par l’ADGAP, l’Association Internationale des Critiques d’Art (AICA) et Le Quotidien de l’Art pour publier, en 2024 dans ce même quotidien, un texte sur l’œuvre photographique d’Antoine Picard.

Auteur de documentaires radiophoniques sur l’art dans les années 1990 puis 2000 (Institut National de l’Audiovisuel; France Culture), il a réalisé dans ce cadre des entretiens avec Aziz + Cucher, Lewis Baltz, Pierre Bastien, Édouard Boubat, Gérard Collin-Thiébaut, Pascal Convert, Vincent Epplay, Valérie Favre, Fred Frith, Jochen Gerz, Jean-Yves Jouannais, Robert Kramer, Ulf Langheinrich (Granular Synthesis), Micha Laury, Cécile Le Talec, Antoni Muntadas, Maurizio Nannucci, Marylène Négro, Orlan, Bernard Plossu, Denis Roche, Sarkis, Esther Shalev-Gerz, Shiro Takatani (Dumb Type) ou Paul Virilio.

À partir de 2005, avec les étudiants de son séminaire sur le son de l’École nationale supérieure d’art de Bourges L’Atelier sonore d’esthétique, un ensemble de documentaires et d’entretiens ou de créations radiophoniques originales est réalisé en particulier avec l’écrivain, poète, essayiste et dramaturge Pierre Bourgeade (L’Homme à la cravate à têtes de cheval, des immortelles et un jockey2008), le cinéaste Vincent Dieutre (La Voix-dictaphone2014) ou les productrices radiophoniques Irène Omélianenko & Inès de Bruyn (Noise In #1 – Fanzine avec des MORCEAUX dedans, en coll. avec Benjamin L. Aman, 2017). En août 2021, à l’occasion du colloque Mandiargues : Écrire entre les arts au Centre international de Cerisy-la-Salle, a également été présenté un entretien de création inédit avec le poète, écrivain, essayiste et photographe Gérard Macé À propos d’André Pieyre de Mandiargues. Pour les vingt ans de L’Atelier sonore d’esthétique, en 2025, un documentaire sera réalisé autour de l’œuvre de l’écrivaine et poétesse Véronique Pittolo.

En 2023, à l’initiative d’A. C., l’École nationale supérieure d’art de Bourges accueille la Bibliothèque des Arts sonores de René Farabet (auteur dramatique, metteur en scène et producteur radiophonique, coordinateur de l’Atelier de Création Radiophonique de France Culture de 1969 à 2001), un exceptionnel outil de recherche sur les arts, la littérature et la création radiophonique et sonore. Elle est rendue publique, le 12 avril 2023, avec la journée d’étude : « Bibliothèque des Arts sonores René Farabet ».

Écrivain, il est l’auteur de poèmes en prose et de fictions qui, entre autres sujets exploratoires, prolongent « autrement » sa recherche esthétique et sa pratique critique.
En 2019, A. C. publie Mort d’Athanase Shurail (Éditions Tarabuste, coll. « Brèves rencontres »), une fiction – entre nouvelles expérimentales et poèmes en prose – habitée par la notion de visualité, d’image et de visible transférée dans l’écriture. Écrit de 1996 à 1999, réécrit après, Mort d’Athanase Shurail explore également le deuil et la mélancolie, sur le mode de la mise en abyme, dans un style « onirique et néo-baroque, moderniste et cinématographique ». Un extrait de ce texte sera, en outre, mis en musique par le créateur sonore Paradise Now (Inter, art actuel, 137, 2021).
En 2020, suite à la pandémie du Covid-19, il participe avec le poème Virus, varia à la compilation bruxelloise No Lockdown Sonopoetics – Correspondances confinées (avec des créations sonores de Paradise Now), puis, en 2022, 2023 et 2024, il publie poèmes et extraits de nouvelles dans les troisième, quatrième et sixième numéros de la Revue de la poésie in toto.
En 2023, il publie le roman La Nuit sentimentale aux Éditions L’Harmattan (coll. « Écritures »), un récit polyphonique entre fiction, expérimentation poétique et essai, qui prend pour cadre et cycle narratifs la guerre de 1914-1918. Ce roman sera l’objet d’un dialogue, photographique et littéraire, entre Anne-Lise Broyer, photographe et première lauréate de la résidence d’artiste du Musée de l’Armée, et l’auteur (Les Attaches, Musée de l’Armée – site des Invalides, Paris, 24 janvier 2024).
Publié le 29 mai 2023 dans la revue Triages (Éditions Tarabuste), L’Éclipse est une fiction conçue et écrite de 2020 à 2022, à partir de notes prises entre 1994 à 1995. D’un point de vue historique, c’est entre la chute du mur de Berlin en 1989 et la guerre du Golfe en 1991, que s’inscrit la fiction de L’Éclipse pour mettre en scène le départ du Sud méditerranéen d’un narrateur sans nom, et son arrivée dans le Paris des années 1990. En outre, L’Éclipse est une adresse à la jeunesse, qui fut celle de la fin des années 1980… Ainsi, figure de cette éternelle, mélancolique et dynamique juvénilité, un groupe minéral de garçons et de filles finalement se perdra, ira jusqu’à son propre effacement, épuisé dans L’Éclipse, disparu dans le temps de la beauté qui passe et la mondialisation qui commence.
Dès lors, alternent la parution de textes de création actuels, et celle de projets poétiques et fictionnels, parfois des décennies 1980 et 1990, toujours réécrits depuis.
En 2023, il signe le livret de l’adaptation pour l’opéra de Micromégas, le conte philosophique de Voltaire. Fidèle au conte du philosophe des Lumières, son adaptation de Micromégas en souligne les illusions optiques et l’imaginaire sonore. Représenté à guichet fermé le 10 et 11 novembre 2023 aux Brigittines, à Bruxelles, dans le cadre des Next Opera Days, un festival qui interroge les nouvelles formes opératiques. Micromégas est un opéra en un prélude, six actes et un postlude pour 3 solistes & ensemble instrumental. Sa musique a été composée par Line Adam, Anne Martin, Benoît Menut et Alexander Vert et interprétée par l’Ensemble Musiques Nouvelles, dirigé par Jean-Paul Dessy. Les chanteuses lyriques de Micromégas sont Blandine Coulon, Élise Gäbele et Katalin Károlyi ; les vidéos de sa scénographie ayant été créées par Thomas Pénanguer (Labo Flashback).
Publié le 16 juillet 2024 par les Éditions Naima, Chaos est un recueil de poésies et de fictions qui, à partir d’expériences littéraires des années 1985-1989, recoupe des préoccupations esthétiques qui seront le sel – ou les signes avant-coureurs – des futures recherches littéraires et artistiques d’A. C., essayiste, critique d’art, écrivain. Construit à rebours (le sommaire de l’ouvrage se développe en effet de 1989 à 1985, telle une réalité vue dans un miroir inversé), Chaos explore, dans la seconde moitié des années 1980, une forme poétique de la tragédie humaine qui, en 2024, résonne toujours dans sa sombre contemporanéité. Chaos est par ailleurs le XXVe livre d’A. C., dès lors que l’on prend en compte ses essais d’esthétique, ses directions d’ouvrages collectifs (essais sur l’art, catalogues d’art contemporain, dossiers en revues d’art) et ses récits (roman, recueil de nouvelles, livret d’opéra).
En septembre 2024, des extraits de Chaos sont présentés dans le premier numéro de la revue ZinZac – Littérature, poésie, philosophie, dirigée par Rozenn Le Roux et Christophe Le Gac.

Enfin, l’engagement littéraire et fictionnel d’A. C. est résolument lié à sa recherche esthétique, et à sa pratique critique, dont il participe de l’unité en archipel.

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© Portrait de A. C., DR, 2017.